CASQUETTE GAVROCHE LUISA REVERSIBLE :
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Histoire du chapeau:
L’histoire du chapeau se fait timide. Peu d’écrits retracent son parcours. Nous savons que le nom « chapeau » est issu de l’ancien français « Chapel », lui-même venant du latin « Caput » signifiant tête. Le chapeau, à l’origine, est né du simple besoin de se protéger contre le froid, les intempéries ou encore le soleil. C’est bien plus tard qu’il sera utilisé en guise de marqueur social.
Le chapeau est un classique du vestiaire masculin mais il est devenu également un intemporel du vestiaire féminin. Bien plus qu’un accessoire, le chapeau a toujours eu deux grandes fonctions. Tout d’abord, il a une visée utilitaire puisqu’il sert de protection contre les intempéries mais il a aussi une visée esthétique et sociale. Pour la femme du siècle dernier, il est le symbole de la classe sociale et des bonnes convenances, seule l’ouvrière ose sortir dans la rue la tête découverte.
Mais la libération de la femme, sa participation de plus en plus grandissante à la vie active, lui seront fatales. Il sera abandonné, tout comme le corset. On le trouve encombrant, voire ridicule. Il n’est plus guère porté que l’hiver, retrouvant là sa vocation première : se protéger du froid, ou l’été et lors de cérémonies officielles, ou bien lors de mariages.
Comme le vêtement, le chapeau semble avoir eu un double rôle, de protection (contre le froid, le soleil, la pluie, les embruns, voire certains combats…), mais aussi d’affirmation d’un statut social (chapeau d’apparat), d’une appartenance ethnique ou clanique… pour finalement devenir un accessoire de mode à part entière. La tradition veut que le fait d’ôter son chapeau (se découvrir) soit une marque de respect et d’humilité (du moins pour les hommes) pour les femmes, l’usage est différent ; la coutume s’est répandue jusqu’à devenir un signe de salut.